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3 août 2018

Mes coups de cœur de l'été 2018

CAERII - Traduction chansons français japonais Bannière coups de cœur été champ soleil

Bonjour! ☀

J'espère que vous allez bien, que vous profitez du temps (et que vous ne mourrez pas sous cette chape de canicule estivale...) Personnellement la chaleur ne me dérange pas, et à l'heure où j'écris ces lignes une douce brise entre par la porte qui donne sur mon jardin...

Mais attaquons le vif du sujet. J'inaugure ici une nouvelle catégorie "coups de cœur" qui me permettra de partager les différentes œuvres (littéraires, musicales, cinématographiques...) qui m'ont plues. Je ne sais pas si je tiendrai le rythme en en faisant une catégorie mensuelle, je préfère donc en faire une catégorie saisonnière. Je ne suis pas très douée pour écrire des critiques, il se peut donc qu'elles soient très courtes et/ou inintéressantes (voilà pourquoi je vais appeler ça "impressions"). Veuillez me pardonner T-T ...Mais je vais essayer! Et surtout, n'hésitez pas à me proposer vos coups de cœur!

Sans tarder, voici mes visionnages et lectures de l'été :

 

Séries: (J'ai pu profiter du mois gratuit sur Netflix en juin)

https://eastcoastmommyblog.blogspot.com/2016/11/celebrating-return-of-gilmore-girls.html

Série américano-britannique, 2016, 2 saisons de 10 épisodes.

Synopsis:(source: wikipédia)

The Crown présente la vie de la reine du Royaume-Uni Elisabeth II, de son mariage en 1947 jusqu'à nos jours.

Mes impressions:

Une série historique passionante, très bien documentée, qui nous apprend énormément de choses sans pour autant être ennuyeuse. Enjeux politiques, histoires familiales, intrigues...Le tout est très bien équilibré à mon sens. De plus, cette série est esthétiquement très réussie.

 

http://bingeout.com/netflixs-new-original-series-3-review/Série brésilienne de 2018, comprenant 2 saisons de 10 et 8 épisodes.

Synopsis:

Dans une société futuriste, à 20 ans, les habitants du Continent, lieu de pauvreté et de misère, passent tous un test, Le Processus, dans l'espoir de partir habiter sur l'Autre Rive, un lieu décrit comme un paradis prospère. Seulement 3% de cette population, alors considérée comme l'élite, pourra alors accéder à cette terre d'abondance et de paix.

Mes impressions:

Très friande de ce genre de séries j'ai vraiment adoré la saison 1. L'histoire m'a fait penser à L'Elite, de Joëlle Charbonneau, que j'avais lu un peu plus tôt dans l'année et qui m'avait fortement plu. Je me suis même demandé s'ils ne s'étaient pas inspirés de cette trilogie pour la série. Il semblerait que non...¯\_(ツ)_/¯ J'ai un peu moins apprécié la saison 2, car l'intrigue ne se concentre plus sur des tests du Processus (et c'est ce qui m'avait poussée à regarder cette série au début, quand même).

Je n'avais jamais vu de série brésilienne, j'ai été agréablement surprise. Une amie brésilienne m'a d'ailleurs dit que cette série reflétait assez bien la société brésilienne actuelle, à savoir l'immense écart entre la population la plus riche et celle plus pauvre.

https://wallpapercave.com/la-casa-de-papel-money-heist-wallpapersSérie espagnole, 2017, 2 parties de 13 et 9 épisodes

Synopsis:

Une bande de 8 malfaiteurs, recrutés par un homme surnommé le Professeur, infiltrent la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre afin d'imprimer 2,4 milliards d'euros en moins de onze jours et sans verser une goutte de sang, et cela malgré la présence de 67 otages.

Mes impressions:

Encore une agréable surprise! En voyant l'affiche et le synopsis sur Netflix, je ne voulais pas la voir, pensant qu'il s'agissait d'une énième série sur la drogue avec moult armes à feu et moult effusions de sang. Mais j'ai fini par céder à la pression familiale, et au bout du deuxième épisode (j'avoue le premier je l'ai regardé du coin de l'œil, restant sur mes positions -oui, je peux être têtue quand je le veux-) j'étais à fond! Plus que de m'attacher aux personnages, rapidement certains m'ont tapés sur les nerfs (je parle bien sûr du directeur de la fabrique et de la professeure) assez rapidement. Et puis on reste sur le côté "psychologique", et ça me plaît, ça.

http://aufildesseries.canalblog.com/archives/2016/12/30/34494531.html

Série canado-américaine, 2016, 2 saisons de 12 épisodes chacune

Synopsis:

Dans le futur, les hommes parviennent à se téléporter au XXIème siècle en prenant pour hôtes des personnes sur le point de mourir. Sous les ordres du directeur, ces voyageurs doivent remplir un certain nombre de missions, consistant à déjouer des événements importants aux conséquences lourdes dans le futur.

Mes impressions:

J'ai beaucoup aimé! L'histoire est assez compliquée à comprendre, il faut donc suivre attentivement les épisodes, ce qui fait que l'on veut savoir la suite assez rapidement! Les personnages avec leurs différentes histoires personnelles sont tous très attachants à leur manière, j'apprécie en particulier le personnage de David, adorable dans son rôle de gros nounours super honnête (ce gars est en or). La voix de Trevor en vf est un peu gênante parfois, et à certains moments on tombe un peu dans la série américaine de type Feux de l'amour, mais sinon je trouve que c'est une excellente série!

 

Livres:

collage

La Trace, de Richard Collasse. Seuil, 2007. 315 pages

De nos jours. Président d'une prestigieuse maison de luxe implantée au Japon, le narrateur, un Français d'une cinquantaine d'années, mène une vie en apparence sans histoires. Marié à une femme qu'il aime, il se passionne aussi pour la photographie. Un matin, sa secrétaire lui remet une lettre anonyme, écrite en japonais. Commence alors un travail de mémoire qui conduit notre homme à interroger son propre passé: son enfance en Afrique du Nord, sa découverte du Japon, dans les années 70, son ascension sociale et professionnelle dans un pays qui le fascine. Il y a aussi les zones d'ombre, entre remords et souvenirs refoulés, d'où refait surface un amour de jeunesse, une Japonaise que le narrateur a rencontrée lors de son premier voyage. Et si l'énigmatique auteur des lettres, c'était elle ?

Mes impressions: Au début assez sceptique, j'ai été au bout de quelques chapitres emportée par ce récit. L'auteur alterne à chaque chapitre récit du passé et du présent, et l'histoire oscille entre autobiographie et histoire romancière. J'ai découvert avec ce roman un très bon auteur.

Cependant, je ne sais pas si ce roman pourrait plaire à tous. Comme je suis allée au Japon une première fois sur une longue période,  hébergée dans une famille d'accueil, je comprenais les sentiments du narrateur, plus jeune, lorsqu'il se rend au Japon pour la première fois. Cette lecture m'a rappelé des souvenirs et j'ai pu aisément me mettre dans sa peau. Peut-être qu'elle laissera plus indifférente un lecteur qui n'aura pas eu cette expérience? En tout cas, sur les différents sites que j'ai consulté, les avis sont assez positifs.

Ce roman m'a donné envie de lire d'autres de ses romans!

 

Robert des noms propres, Amélie Nothomb. Albin Michel, 2002. 189 pages

Le destin exceptionnel d’une petite fille prénommée Plectrude née sous les auspices les plus dramatiques et au parcours semé d’obstacles. Plectrude, orpheline de père et de mère (la mère ayant tué le père puis s’étant suicidée), est recueillie par sa tante qui l’élève dans la vénération la plus absolue. Il faut dire que Plectrude est douée de tous les dons (beauté, charisme, singularité, talent inouï de danseuse) même si à l’école elle passe d’abord pour une simplette avant qu’on s’écrie au génie.

Mes impressions: Amélie Nothomb a une écriture assez particulière (je ne vous apprends rien). Autant certains de ses romans ne trouvent pas d'écho en moi (Stupeur et Tremblements, La nostalgie heureuse) autant d'autres, comme Robert des noms propres, sont lus d'une traite en quelques heures seulement. J'ai dévoré ce livre, tout simplement.

 

Geisha, Arthur Golden. Le Livre de Poche, 2006. 604 pages.

À neuf ans, dans le Japon d'avant la Seconde Guerre mondiale, Sayuri est vendue par son père, un modeste pêcheur, à une maison de plaisir de Kyoto. Dotée d'extraordinaires yeux bleus, la petite fille comprend vite qu'il faut mettre à profit la chance qui est la sienne. Elle se plie avec docilité à l'initiation difficile qui fera d'elle une vraie geisha. Art de la toilette et de la coiffure, rituel du thé, science du chant, de la danse et de l'amour : Sayuri va peu à peu se hisser au rang des geishas les plus convoitées de la ville. Les riches, les puissants se disputeront ses faveurs. Elle triomphera des pièges que lui tend la haine d'une rivale. Elle rencontrera finalement l'amour...Écrit sous la forme de mémoires, ce récit a la véracité d'un exceptionnel document et le souffle d'un grand roman. Il nous entraîne au cœur d'un univers exotique où se mêlent érotisme et perversité, cruauté et raffinement, séduction et mystère.

Mes impressions: Extrêmement intéressant d'un point de vue antrhopologique. L'histoire est passionante. Il s'agit bien d'une fiction inspirée de la vie d'une geisha que l'auteur a rencontré, pas d'un témoignage de cette dernière mis à l'écrit comme je l'ai cru au début. Ce que je trouve assez drôle,  c'est que l'auteur remercie énormément cette "amie" d'avoir partagé son savoir...Amie qui lui a intenté un procès, "mécontente des libertés que l'auteur s'est permis de prendre dans son roman" (source: wikipédia) et aussi parce qu'il a également révélé des choses qui n'auraient pas dû être publiées par rapport à son serment de silence en tant que geisha. Je compte lire dans un futur proche l'autobiographie de Mineko Iwasaki, Ma vie de geisha.

 

La déception:

https://www.amazon.co.jp/%E3%83%95%E3%82%B8%E3%83%86%E3%83%AC%E3%83%93%E7%B3%BB%E3%83%89%E3%83%A9%E3%83%9E-%E3%82%AA%E3%83%AA%E3%82%B8%E3%83%8A%E3%83%AB%E3%82%B5%E3%82%A6%E3%83%B3%E3%83%89%E3%83%88%E3%83%A9%E3%83%83%E3%82%AF%E3%80%8C%E7%A9%BA%E3%81%8B%E3%82%89%E9%99%8D%E3%82%8B%E4%B8%80%E5%84%84%E3%81%AE%E6%98%9F%E3%80%8D-TV%E3%82%B5%E3%83%B3%E3%83%88%E3%83%A9/dp/B000065BE8 Sora Kara Furu Ichioku no Hoshi (One Million Stars Falling from the Sky)

2002

11 épisodes

L'histoire commence après qu'une jeune étudiante se suicide en se jetant d'un balcon.
Très vite la police découvre qu'il s'agit d'un meurtre déguisé en suicide. Au cours de l'enquête certains éléments conduisent l'inspecteur Kanzo à soupçonner Ryo, un mystérieux chef cuisto, qui semble en savoir plus sur la mort de la jeune fille que ce qu'il dit. Tous deux se croisent souvent par hasard et chaque rencontre avec Ryo laisse au détective une drôle d'impression.
A chaque découverte, le détective se pose davantage de question sur Ryo, quant à sa petite amie possessive, son étrange relation avec plusieurs femmes et aussi sur un évènement douloureux du passé de Kanzo.
Les choses se compliquent lorsque une étrange relation mêlant amour/haine se développe entre Ryo et Yuko, la jeune sœur du détective Kanzo. Quel est ce lien qui les unit ?
Kanza va tout faire pour sauver sa sœur des griffes de Ryo, qu'il considère comme étant le diable.
Qui est Ryo, pourquoi ne parle-t'il jamais de son passé, et pourquoi traite-t'il Yuko différemment de toutes les autres femmes qu'il côtoie ? (source: Nautiljon)

Mon impression: J'aime les vieux dramas japonais (bon celui-ci datant de 2002, il n'est finalement pas si "vieux" que ça dans la chronologie). J'aime le jeu d'acteur de Kimura Takuya. Le titre semblait prometteur (j'aime les étoiles, l'espace, tout ça tout ça). Résultat: une déception totale. Ce drama est d'un ennui...Il ne se passe pas grand chose, Akashiya Sanma que je trouve sympathique normalement me tapait sur les nerfs avec son accent du Kansai à tire-larigot (et pourtant j'aime cet accent). Il ne se passe tellement rien que tu ne comprends rien à l'histoire, tu passes ton temps à te demander à quoi tel ou tel personnage sert, tu comprends la relation en Ryo et Yuko assez rapidement ce qui en fait une torture à regarder tellement c'est lent. Je me suis arrêtée à l'épisode 4, j'ai regardé le début du onzième épisode pour voir s'il y avait une évolution des personnages, de l'intrigue, mais non rien du tout, le néant. Donc c'est avec énormément de regrets que j'ai laissé tomber.

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