Challenge séries 2022

Bonjour ! 

Je vous retrouve dans cet article pour un nouveau challenge visionnage, en plus de celui thématique pour les séries asiatiques que vous pouvez retrouver dans cet article. En effet, j'ai pas mal de séries occidentales dans ma liste à voir mais j'ai tendance à privilégier les drama afin de compléter la liste déjà sur ce blog. Il fallait donc que j'y remédie et pour cela, je me suis inspirée de challenge retrouvé sur plusieurs blogs. Il s'agit de choisir douze séries jamais vues ou jamais terminées (au moins une saison de retard) et les visionner entre le 1er janvier et le 31 décembre.

Pour la réalisation de cette première participation, j'ai choisi six séries occidentales qu'il me tarde de visionner mais aussi six séries asiatiques, trois drama sud-coréens pour continuer mon autre challenge (et libérer ma pile de séries à voir sud-coréennes) et trois anime qui traînent également dans les tréfonds de ma liste. Je ne me suis pas encore décidée pour deux des séries occidentales prévues, je choisirai en fonction de mes envies du moment.

Il s'agira également de visionner tout cela en même temps que les nouvelles saisons de séries en cours ! Je ne sais pas si j'y arriverai, mais on y croit !

En espérant que mon choix vous inspirera pour de futurs visionnages !

Sommaire :

1. AJ and the Queen (série américaine)
2. Violet Evergarden (anime japonais)
3. This is Us (série américaine)
4. W (drama coréen)
5. Trois mètres au-dessus du ciel (série italienne)
6. Great Pretender (anime japonais)
7. Shadow and Bones, la saga Grisha (série américaine)
8. Cafe Minamdang (drama coréen)
9. Sandman (série américaine)
10. Another (anime japonais)

Janvier

(Source : https://nextseasontv.com/aj-when-does-it-start/)

Aj and the Queen

réalisée par Ru Paul et Michael Patrick King, 2020

1 saison - 10 épisodes 

 

Résumé (Wikipédia) : Alors qu'elle parcourt l'Amérique en camping-car, Ruby Red, drag queen, découvre un acolyte improbable en une jeune passagère clandestine de 10 ans au langage virulent.

Mes impressions : J'ai plutôt bien apprécié ce visionnage, même si ce n'est pas un coup de cœur. Nous retrouvons l'humour un peu potache et le surjeu des défis acteurs de Ru Paul's Drag Race, ce qui m'a un peu déstabilisée au début. L'histoire se tient, avec de beaux messages (ceux de l'épisode 6 m'ont particulièrement touchée). Les personnages ont tous beaucoup défauts, ce qui d'un côté les rend très humains mais dans un même temps demande du temps pour savoir les apprécier : dix épisodes semblent être un délai peu court pour certain.e.s. Quant au duo antagoniste, que dire...À part une vague idée de pourquoi iels sont là et font ce qu'iels font, se sont des clichés ambulants...Cela fait partie du gag, mais les personnages perdent en profondeur.

Un autre point qui m'a chiffonnée (et je suis peut-être mal placée en tant que personne valide pour en parler) mais j'en ai plus qu'assez que des personnes en situation de handicap soient jouées par des acteurs qui n'ont pas le dit handicap. Alors certes, la prestation de Michael-Leon Wooley est très bonne, mais je suis persuadée qu'il existe des acteurs atteints de cécité qui aurait pu faire autant voir mieux dans ce rôle. Et en plus, cela leur aurait donné de la visibilité. De mon point de vue, le handicap n'est pas une étiquette que l'on colle, mais une facette, une façon de vivre et de voir le monde qu'aucun acteur valide ne peut égaler. J'ai été donc vraiment déçue par ce point, surtout venant d'une personnalité telle que Ru Paul qui prône le self-love, l'acceptation de soi et des autres, etc. Surtout que dans le premier épisode il me semble, un figurant est en fauteuil. Pourquoi ne pas leur donner des rôles plus importants ?

Février 

 Violet Evergarden

réalisée par Ishidate Taichi, Yamamoto Rin, 2018

1 saison - 13 épisodes

Résumé : Après quatre longues années, la guerre prend finalement fin. Violet Evergarden, une jeune fille longtemps considérée comme une arme sans âme pendant le conflit doit trouver un nouveau sens à sa vie. Elle rentre sous les ordres d'un ancien ami de son supérieur qui dirige une entreprise postière. Fascinée par le travail des « poupées de souvenirs automatiques » qui rédigent des lettres sur demande, elle décide d'en devenir une, malgré son absence totale de compréhension de l'humain.

Mes impressions : L'esthétique est soignée, l'animation est très belle. Malgré cela, je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire. À cause de son manque d'empathie, je n'ai pas pu apprécier le personnage principal. Au final, peu importe ce qu'il pouvait lui arriver, je n'arrivais pas à me sentir impliquée et ressentir de la peine pour elle. Elle « s'humanise » au fil des épisodes mais c'est trop rapide, cela sonnait faux. Le schéma un épisode une histoire n'était pas vraiment bon ici et m'a rapidement saoulée.Tout va trop vite. Par exemple, je trouve ça franchement irresponsable et irréaliste que le patron du service postier accepte d'envoyer travailler pour des clients de haut rang une fille qui n'est pas encore capable de faire correctement son boulot.

Je m'attendais vraiment à une grosse claque émotionnelle mais j'ai été déçue. L'épisode 7 est le seul qui m'a véritablement émue. 

Mars 

(Source : https://www.primevideo.com/detail/This-Is-Us/0GDP096ORVZ7V5R0WBBSDP04G5?_encoding=UTF8&language=fr_FR)

This is Us

créée par Dan Fogelman (2016-2021)

6 saisons - 18 épisodes chacune

Résumé : La série suit la vie des membres de la famille Pearson : Jack, Rebecca et les triplés, Kevin, Kate et Randall. L'action principale se déroule en 2016-2018, quand les triplés sont adultes ; de nombreux flashbacks nous montrent la famille à divers moments de leurs passés.

Mes impressions : Saison 1 : Dès les premiers épisodes, j'ai voulu en savoir plus sur l'histoire de chacun des membres de la famille Pearson. Ce que je trouve intéressant, c'est que cette série nous montre chaque personnage indépendamment les uns des autres, selon différents points de vue sans jamais être dans la redondance. Iels sont tous les personnages principaux de leurs propres vies. Ce qui est fort, c'est que chacun des protagonistes porte en lui des défauts que nous-même pouvons avoir, tel un reflet du spectateur. Nous comprenons leurs choix, quand bien même nous ne sommes pas tout le temps d'accord : les personnages de cette série sont humainement imparfaits et c'est cela qui nous rapproche d'eux et nous fait nous attacher à eux. Nous suivons leurs vies qui s'entremêlent les unes aux autres avec en filigramme la thématique du deuil. De nombreuses autres thématiques comme l'acceptation de soi, le racisme, l'adoption...sont abordés avec beaucoup d'intelligence. Vous l'aurez compris, un gros coup de cœur pour cette série qui se prolonge dans la saison 2.

Saison 2 : Les personnages sont tous si attachants et touchants dans leur faiblesse et leur humanité que j'en ai les larmes aux yeux à chaque épisode. Ce que j'admire toujours autant, c'est cette vérité dans le traitement des protagonistes. Le titre de la série, This is Us, prend vraiment sens : C'est leur histoire, mais c'est aussi la nôtre, dans le sens où nous nous retrouvons dans leurs agissements, dans les petits plaisirs de la vie mais aussi dans les malheurs. 

Saison 3 : J'ai un peu moins aimé cette saison par rapport aux deux premières. Je n'ai pas été emballée par l'arc Jack / Kévin même si je comprends son utilité. Beaucoup trop de dramas pour mes persos préférés, j'étais tendue pour elleux vous ne pouvez pas savoir à quel point. ><

Saison 4 : Carton plein pour cette saison. Je l'ai totalement appréciée. J'ai trouvé plutôt juste et bien amené les différentes réactions au sujet du handicap. SPOIL ENFIN Randall entame une thérapie ! Il était temps >< /SPOIL

Saison 5 : Un peu dubitative concernant l'insertion de la crise du COVID-19 dans le récit, j'ai tout de même été touchée à plusieurs reprises. SPOIL La scène de Randall et de sa mère (par ailleurs, j'ai été réconciliée avec le personnage depuis qu'il suit une thérapie ! ♥), le développement de l'histoire de l'oncle Nick... /SPOIL J'ai eu encore BEAUCOUP de mal avec le personnage de Kévin, je pense fortement qu'il devrait suivre l'exemple de son frère... ƪ(•̃͡ε•̃͡)∫ʃ 

Cette série nous aide à comprendre et nous rappelle que chacun d'entre nous a une histoire, un passé et des convictions propres qui font ce que nous sommes.

Avril 

W

réalisé par Jeon Dae Yun, scénario de Seong Jae Jeong, 2016

1 saison - 16 épisodes

Résumé : Oh Yeon Ju est une interne en chirurgie cardiaque, mais également la fille du créateur de W, le webtoon le plus en vogue du moment. Un jour, son père disparaît sans laisser de traces, ce qui inquiète la jeune femme. Alors qu'elle essaie de comprendre ce qu'il lui est arrivé, elle se fait embarquer dans le monde créé par son père, où elle rencontre Kang Cheol, le personnage principal de l'histoire.

Mes impressions : Coup de cœur confirmé dès les premiers épisodes. Les acteurices sont excellents, j'y ai par ailleurs découvert Lee Jong Suk (je compte bien voir d'autres drama où il fait son apparition). Les transitions entre les deux mondes sont très bien faites, la réalisation est excellente. Des bons messages disséminés çà et là. L'épisode 10 m'a refroidie (les rebondissements en dent de scie...Ça va cinq minutes x) ) au point où j'ai eu très peur pour la suite du drama mais l'histoire a su se renouveler exactement au bon moment et ce jusqu'à la fin. Je n'ai pas trouvé la romance forcée comme j'ai pu le lire, au contraire leur alchimie était mignonne et juste ce qu'il faut. Quelques incohérences et faux raccords mais j'ai trouvé le reste tellement bon que cela serait hypocrite de m'attarder dessus.

Mai

(Source : https://freakingeek.com/trois-metres-au-dessus-du-ciel-une-nouvelle-adaptation-en-serie-sur-netflix/)

Trois mètres au-dessus du ciel

réalisée par Mirko Cetrangolo, Anita Rivaroli, 2019 / 2021

2 saisons - 8 épisodes chacune

ABANDON (à l'épisode 2 de la saison 1)

Mes impressions : Une série très summer vibes mais un male lead trop macho pour moi. J'ai bien aimé l'actrice principale (Coco Rebecca Edogamhe) et le look de son personnage, mais je n'ai éprouvé aucun intérêt pour l'environnement dans lequel elle évolue.

Juin

Great Pretender

réalisé par Kaburaki Hiro, Masuyama Ryōji, scénario de Kosawa Ryōta, 2020

2 saisons - 14 et 9 épisodes

Résumé : Makoto Edamura, un jeune japonais se retrouve à travailler pour un escroc français, Laurent Thierry. Avec son équipe, iels vont déjouer les plans des plus gros criminels en les escroquant. De la drogue aux trafics d'œuvres d'art, les missions sont toujours extrêmement risquées !

Mes impressions : J'ai beaucoup aimé le style graphique et la colorimétrie aux couleurs saturées. Le côté international et multilingue est super intéressant avec différentes nationalités, langues et pays qui sont représentés de manière correcte (cela se voit que des études de terrains ont été faites). Les missions étaient vraiment sympas à suivre. Il y a cependant un point sur la fin à la « tout le monde est beau tout le monde est gentil » que je n'ai pas du tout aimé.

Juillet 

Shadow and Bones : La saga Grisha

créée par Éric Heisserer, 2021

1 saison - 8 épisodes

Résumé : Le royaume de la Ravka est maudit depuis l'apparition d'un mur de brouillard sombre qui sépare le pays en deux. Il est l'œuvre d'un magicien (un grisha) maléfique, l'Hérétique noir. En proie aux guerres avec les pays frontaliers et à une guerre civile, la seule solution serait de faire disparaître ce brouillard. Mais seul.e un.e grisha avec le pouvoir de faire appel à la lumière en serait capable. Seulement, existe-t-iel vraiment ?

Mes impressions : Une série qui vise un public adolescent et cela se ressent. L'histoire a des tenants et aboutissants très clichés. J'ai trouvé que les personnages féminins manquaient cruellement de profondeur et sont oubliables, au contraire des protagonistes masculins qui étaient beaucoup plus intéressants et attachants (j'ai appris à apprécier le personnage de Jesper au fil de mon visionnage par exemple, mais aussi Kaz, et Mal). La différence d'âge entre les acteurices d'Alina et de Kirigan m'a énormément gênée, même si je comprends la symbolique par rapport à l'histoire derrière. C'était trop pour moi. Pas sûre de regarder la saison 2.

Août

Café Minamdang

réalisé par Go Jae Hyeon, scénario de Park Hye Jin, 2022

1 saison - 18 épisodes

Résumé : Nam Han Jun est un excellent profiler, radié suite à une accusation de falsification de preuves. Après avoir purgé sa peine, il est bien décidé à coincer « Gopuri », le.a criminel.le qui a tué son meilleur ami, affaire à l'origine de son emprisonnement. Pour se faire, il décide de créer, avec l'aide de sa sœur (une ex-employée de la NIS) et d'un ami qu'il considère comme son frère, le café Minamdang, où il exerce en tant que chaman, proposant ses services à qui le souhaite. Cette activité lui permet de financer son enquête officieuse.

Mes impressions : Un drama qui m’a plu dès le premier épisode. L’humour est admirablement bien exploité, sans peser négativement sur l’intrigue policière qui est d’une qualité équivalente. La balance est vraiment parfaite. 

Malheureusement, elle est déséquilibrée dans la seconde partie par une romance. Je l’ai trouvée d’une inutilité sans nom. À partir du moment où elle débute, le drama ralentit de façon drastique. Et puis, la différence d’âge m’a mise mal à l’aise… Le lien amical était amplement suffisant. En bref, des longueurs qui font regretter que le drama ne dure pas deux épisodes de moins pour avoir la longueur classique des seize épisodes. 

L’intrigue est d’une complexité plus que satisfaisante, avec pas mal de personnages : c’est super, mais difficile à suivre au rythme de deux épisodes par semaine. Cela m’a énormément frustrée.

Vers la fin, quelques facilités qui ne m’ont pas vraiment convaincues mais il faut se rappeler qu’il s’agit en premier lieu d’un drama comique. Par contre, elle est beaucoup trop ouverte pour moi.

J’ai apprécié aussi bien le quator de Minamdang que le groupe de policier.ère.s. Il y a une bonne alchimie entre elleux. Je me suis vraiment attachée à chacun d’entre elleux. J’ai aimé l’interprétation de Seo In Guk. Je l’ai trouvée très au point et vraiment feel good. Ses mimiques correspondent au genre du drama.

Un peu déçue que certains ressorts comiques n’aient pas été développés outre mesure (par peur de lasser peut-être ?) : j’aurais souhaité voir encore plus de la particularité verbale du procureur Cha par exemple, mais aussi que les inventions de Na-Dan soient plus exploitées.

Septembre

Sandman

création d'Allan Heinberg, 2022

1 saison, 11 épisodes

 

Résumé : Piégé par un mortel, Morpheus, le Roi du Royaume des Rêves se retrouve enfermé pendant plus d'un siècle dans le sous-sol d'un manoir. Son emprisonnement affaiblit considérablement la limite entre son royaume et le monde des Humain.e.s, avec des conséquences désastreuses pour ses dernier.ère.s. Une fois libéré, parviendra-t-il à retrouver les attributs qui lui ont été dérobés et à rétablir l'ordre, à la fois dans son Royaume et au sein du monde terrestre ?

Mes impressions : Je retiendrais de cette première saison (parce qu'il y en aura très certainement d'autres) ses visuels absolument époustouflants. J'ai beaucoup aimé l'univers ; j'ai peut-être un peu moins accroché à l'histoire. Je l'ai trouvée assez décousue. Certaines histoires m'ont vraiment intéressées mais j'ai quelques réserves concernant d'autres. Le comic d'origine fait participer différent.e.s dessinateurices, je pense que l'aspect « nouvelles » (que j'ai trouvé tout de même original) vient de ce fait.

Fait notable : j'ai trouvé le personnage du corbeau absolument insupportable. 怒`-з-)=3

Octobre 

Another

d'après l'œuvre originale de Ayatsuji Yukito, réalisé par Mizushima Tsutomu, scénario de Higaki Ryō, 2012

1 saison - 12 épisodes 

Novembre 

Série occidentale à définir

 

Décembre

Itaewon Class

réalisé par Kang Min Gu et Kim Seong Yu, scénario de Jo Gwang Jin, 2020

1 saison de 16 épisodes

Résumé : Park Sae Ro Yi est élevé par son père jusqu'au jour où ce dernier est impliqué dans un accident de moto mortel. Désormais orphelin, Sae Ro Yi, fou de douleur, s'en prend à l'assassin présumé de son père, le fils du PDG de la société alimentaire Jangga.

Condamné pour violence et tentative de meurtre à trois ans de prison, Sae Ro Yi se fait la promesse de venger son père en surpassant la compagnie prospère qu'il considère comme un ennemi à abattre.

Il commence son projet en ouvrant un bar dans le quartier huppé d'Itaewon, comme a pu le faire son ennemi des années auparavant.

Mes impressions : Itaewon Class est un bon drama, à la structure et au développement plutôt classiques des séries sud-coréennes. 

Ce qui le distingue des autres, c’est à mon sens le soin apporté à la construction de l’identité des personnages. Les différentes personnalités de nos protagonistes sont en effet creusées avec attention. C’est clairement le gros point fort de ce drama.

J’ai beaucoup aimé Saeroyi : un homme simple, droit, juste, dans ses baskets, à l’écoute. « Qui va lentement, va sûrement » est une devise qui lui correspond tout à fait. Il n’est pas le plus futé, mais c’est justement ce qui le rend attachant. La manière dont il réalise ses sentiments envers Yi-Seo est d’ailleurs très mignonne. Au contraire, j’ai eu du mal concernant cette dernière ; avec son caractère impulsif et infantile, je n’ai pas réussi à la voir autrement que comme une enfant. Je suis peut-être la seule, mais j’ai bien aimé l’histoire du premier amour de Saeroyi : j’ai trouvé la situation très réaliste (que je ne peux pas développer sous peine de spoiler)

Je ne me suis pas trop épanchée sur l’intrigue principale, mais je l’ai trouvé somme toute assez classique à dramaland. 

Enfin, le drama aborde le sujet de la transidentité, mais j’ai trouvé qu’il restait tout de même timide. C’est dommage, parce que le support aurait pu être pédagogique. SPOIL/ Il n’est question que d’UNE SEULE opération à la limite magique (quid des hormones, du trouble dysmorphique du corps, etc, etc ?)

Quand les personnages découvrent la transidentité de leur collègue, la première question qu’iels posent est de savoir s’iel a fait « l’opération ». C’est une question absolument intrusive, surtout posée de tout de go, qui trigger il me semble pas mal de personnes transgenres. Que la question soit posée, soit, mais j’aurais aimé qu’il y ait un recadrement, que la personne concernée montre qu’elle est mal à l’aise face à cette question, pour montrer à quel point c’est déplacé et anormal de demander un truc aussi privé. /SPOIL

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Alors, que pensez-vous de ma sélection pour cette année ? Avez-vous déjà vu ces séries ? Si oui, qu'en avez-vous pensé ?